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Si la grande majorité des impacts sont à l’échelle des organisateurs d’événements et des très gros artistes, on avait envie de vous donner quelques pistes pour intégrer le développement durable dès le démarrage de votre carrière, histoire de bien faire les choses dès le début !
Depuis quelques années, les festivals et les gros événements sont pointés du doigt pour leur impact écologique. Entre les déplacements en avion des artistes, les semi-remorques qui sillonnent les routes pour acheminer le matos de date en date, la surconsommation d’énergie ou encore les déplacements en voiture des spectateurs, il peut être parfois décourageant de mettre en place des éco-gestes face à de tels mastodontes.
Heureusement, les prises de conscience se multiplient. Parmi les derniers exemples en date, on pense forcément à la dernière tournée de Coldplay « Music of The Spheres ». Les engagements liés à cette tournée « écolo » sont disponibles sur un site spécialement dédié. Si on met le mot « écolo » entre guillemets, c’est que le terme reste encore discutable. De tels concerts entraînent des centaines de milliers de déplacements du public qui prend la voiture, voire l’avion pour y assister. L’idéal serait donc de revoir tout le modèle et de réduire les jauges… mais la démarche de Coldplay a au moins le mérite de soulever cette question !
En France aussi, les artistes s’engagent dans la transition écologique. Ils se rassemblent au sein de collectifs comme « The Freaks », initié par le groupe Shaka Ponk. Les artistes et personnalités membres (Christophe Willem, -M-, Pascal Obispo, Tété, Zazi…), s’engagent à « changer leurs habitudes pour réduire leur impact sur la planète et le climat, et à passer le message auprès de leurs fans et followers ».
D’ailleurs, il semblerait que les amateurs de musique soient plus sensibles à la crise climatique que les autres. Une étude initiée par des chercheurs de l’université de Glasgow a démontré que 82 % des fans de musique s’inquiètent du changement climatique. 54 % d’entre eux sont d’accord pour dire que « la lutte contre le dérèglement climatique devrait être une priorité absolue maintenant, avant toute autre chose ».
Le public est prêt, les professionnels commencent à se bouger, et vous ?
Si le développement durable se doit d’être un sujet de fond dans l’industrie musicale, vous pouvez vous aussi, à votre échelle, intégrer de nouvelles habitudes pour aller dans le bon sens !
Plus largement, les questions environnementales se retrouvent dans les discours mais aussi dans les chansons des artistes. S’il y a quelques années, Tryo en faisait un titre complet avec « l’hymne de nos campagnes », l’écologie devient aujourd’hui un décor de l’histoire comme dans le titre « 50° » de Lomepal.
À défaut d’en écrire une chanson, posons-nous au moins les bonnes questions !
Pour aller plus loin :
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