Prade, comme une issue musicale pour permettre à Julian Pradel d’exprimer ses émotions. Ces émotions qui sont de plus en plus montrées du doigt, en particulier celles qui font couler des larmes. Larme qu’il arbore, elle reflète ses ressentis sur sa place entre l’adolescent et l’adulte. Il livre la douceur d’une pop française puisé chez Eddy de Pretto teinté d’un rap mélodique introspectif inspiré de Georgio, se dévoilant sous les larmes qui le poussent à se dépasser. Chaque musique, chaque texte en est un fragment avec lequel il compte bien fabriquer ses futurs sourires. Prade sur scène comme en studio c’est une invitation au lâcher prise, accepter nos propres émotions qui forment notre véritable reflet qui finira par éblouir nos ombres.  Il pourra le démontrer sur la scène du Bataclan le 16 mai prochain, en tant que finaliste du tremplin 21Voix - Road to Bataclan.