L’actu de la semaine (17 mars 2025)

 

Salut à toutes et à tous, dans ce RIFFX Hebdo en audio, vous découvrirez le Top 5 de Last Train par Last Train, le dernier album de Lady Gaga et comme d’habitude, on commence avec l’actualité de la plateforme musicale du Crédit Mutuel.

Réservez votre vendredi soir, le Paris Music Festival se mettra en mode révéLAtions RIFFX avec La Rouge Cartouche Session Découverte proposée au Ground Control. Amandine ProstJeanne Bonjour, Morjane Ténéré  s’y produiront en live et la soirée se poursuivra avec derrière les platines Carlala et Maurice. L’entrée est gratuite, on vous attend donc en nombre pour applaudir les révélations RIFFX by Crédit Mutuel, le Ground Control se situe au 81 rue du Charolais, Paris 12ème.

Vous êtes majeur-e, artiste ou groupe de jazz, alors le Tremplin RIFFX Cosmo Jazz est fait pour vous. Cosmo Jazz, c’est une expérience unique que l’on doit à notre Maestro André Manoukian, imaginez-vous jouer en altitude entre neiges éternelles et lac de montagne, c’est Cosmo Jazz dans la vallée de Chamonix Mont-Blanc en juillet… Pour participer, direction la rubrique tremplins de riffx.fr, attention les inscriptions seront closes le 2 avril à midi !

Déjà le 3ème épisode de la 4ème saison pour METALXS, l’émission culte de la scène métal vous propose cette semaine une rencontre exceptionnelle avec Zakk Wylde et un entretien avec le chanteur et guitariste du groupe Coheed and Cambria. Vous aurez bien sûr les sorties albums et rendez-vous concert à ne pas rater. METALXS, c’est une exclusivité RIFFX by Crédit Mutuel en collaboration avec le magazine Hard Force.

Je vous propose un détour par les studios vidéo de RIFFX HEBDO. Un groupe mulhousien qu’on adore y est passé, ils sont 4, ils sont beaux, ils jouent fort… Je pense que vous l’avez, voici un extrait du Top 5 de Last Train

Merci d’avoir écouté ce RIFFX Hebdo,  avant de vous quitter une question : êtes-vous le ou la fan ultime de Clara Luciani ? Si vous pensez que oui, ne ratez pas le jeux-concours qui vous permettra de rencontrer l’artiste elle-même, oui oui, vous et Clara Luciani en face à face, attention vous avez jusqu’à dimanche soir pour vous inscrire dans la rubrique jeux-concours et enregistrez votre vidéo de candidature. Bonne chance à toutes et à tous et à la semaine prochaine !

 

Sept ans qu’elle n’avait pas sorti d’album, c’est chose faite récemment pour Lady Gaga.  

  • Ali : Elle est de retour avec un album qu’on attendait depuis 7 ans ! Il s’agit de Lady Gaga.
  • Marie : Oui Lady Gaga a sorti il y a quelques jours « Mayhem », son septième album studio, et il marque le retour de l’américaine à une pop grandiose et électrique. « Mayhem », c’est un concentré de tout l’ADN de Lady Gaga. Musicalement, c’est un mélange explosif de pop électro, de rock et de sonorités funk, avec des inspirations qui font penser à David Bowie, Prince ou encore Nine Inch Nails.
  • Ali : Quels sont les thèmes abordés ?
  • Marie : Lady Gaga questionne la célébrité et l’impact qu’elle a sur son identité. Elle ironise sur son image publique, révèle la dissociation qu’il y a entre la femme qu’elle est et la star qu’elle est aussi. Elle explore la dualité de son identité, entre la femme et l’icône, la réalité et le spectacle. Mais « Mayhem », c’est aussi l’amour, et une ballade dédiée à son fiancé Michael Polansky.
  • Ali : “Mayhem” est un album très contrasté, Lady Gaga évoque la dualité qui l’habite…ça se traduit dans la production ?
  • Marie : Absolument ! Cet album joue sur le contraste entre des morceaux taillés pour les stades, comme « Abracadabra » ou « Disease », et d’autres plus introspectifs. Il y a également une grande richesse dans les productions, avec l’utilisation de synthés analogiques, des basses puissantes et des incursions rock. Elle s’autorise même quelques clins d’œil à ses propres classiques, comme sur « Garden of Eden » qui rappelle ses débuts.
  • Ali : On écoute quel titre, Marie ?
  • Marie : « Killah ». Ce titre est en collaboration avec le producteur français Gesaffelstein. C’est un morceau intense, mêlant électro-funk et influences industrielles, avec une énergie brute qui rappelle « I’m Afraid of Americans » de David Bowie. Lady Gaga y adopte une attitude féroce, jouant avec son image de célébrité sous pression.