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À l’occasion de la sortie de son quatrième album solo « Est-ce que tu sais ? », Gaëtan Roussel s’est confié à notre journaliste JB Goupil !
Rien dans la vie n’est certain ni inéluctable, rien Gaëtan, si ce n’est la joie de t’avoir à mes côtés ! Gaëtan, est-ce que tu doutes dans la vie ? C’est vrai qu’on a basculé quand même très très vite dans un côté psychologie magazine.
Non t’inquiètes ! Bonjour déjà. On peut mettre d’autres mots sur le doute : fragilité, questionnement… Et évidemment que j’ai tout ça.
Oui, les questions, elles sont souvent présentes dans mes textes. J’ai souvent, plutôt, posé des questions qu’amené des réponses et c’est une manière d’avancer. J’aimais bien cette idée-là, enfin j’aime cette idée-là. Ce n’est pas « je l’aimais bien » : j’aime.
C’est vrai.
Comme quoi cette période elle n’aura pas juste été propice à apprendre à faire des cookies, pour moi qui est une compétence tout à fait nouvelle et inédite !
Si tu fais référence à mes cookies, ils sont très bons !
Beurre salé, enfin bon, je ne vais parler cuisine toute l’interview mais si on veut être précis, c’est le beurre fondu qui est salé, merci !
J’étais en train d’écrire quand le confinement nous est tombé dessus donc j’ai continué ce processus-là, j’avais déjà décidé à ce moment-là de plutôt être recentré sur de l’acoustique, c’est-à-dire si on fait simple : guitare-voix. Peut-être qu’ici et là, et forcément c’est dans les détails que se jouent beaucoup de choses, ça a joué, mais la ligne directrice elle était quand même présente.
Exactement, c’est le petit clin d’œil au ballon rond, tout simplement.
Oui, non vraiment, vraiment.
Oui, c’est pas à moi de le dire, il faudrait retrouver des images !
Je m’appuie sur différents verbes pour illustrer le temps qui passe, la fatalité on la connaît tous. Par contre, ce qu’on fait du moment, on en est plus ou moins maître suivant ce qu’on vit évidemment.
Ah, j’ai un Bescherelle pourtant ! Quand j’avais proposé cette chanson à Alain Bashung, il y avait cette faute d’orthographe et on en avait conclu que c’était quelqu’un qui courait mais pas très bien. Il allait… Voilà ! Et donc j’ai gardé ça, j’ai l’impression que ce verbe là je ne conjuguerai plus jamais autrement que comme ça !
Oui, c’est vrai. C’est vrai, « Help Myself (Nous ne faisons que passer) » en faisait partie. Alors ça, c’est un titre un peu plus sautillant, un petit peu plus rythmé et sur le texte, cette idée qu’on ne va pas traverser le temps avec que des plénitudes. Qu’est-ce qui nous rend plus fort ? Comment on avance avec ce qu’on peut prendre sur le coin de la tête ?
On aurait pu l’illustrer de différentes manières, c’est une manière de l’incarner. Ce sont des sportifs que moi j’ai pu regarder, que je trouvais tellement beaux quand j’étais petit. Je voulais qu’ils soient eux-mêmes et ils ont joué le jeu et on les voit aujourd’hui. Donc plus qu’une reconversion, c’est une continuité je trouve.
Moi, plutôt que la mort, j’aurais dit la vie déjà. Après, c’est le temps qui s’écoule et ça, c’est quelque chose qui m’intéresse. Après des sujets il y en a plein, il n’y en pas tant que ça par contre, il y a mille manières d’en parler.
Alain Souchon. Monsieur ! C’est monsieur texte quand même en France donc j’étais heureux qu’il veuille bien chanter quelques mots que j’ai écrit, que je lui ai proposé. Et Camélia Jordana, c’est une super chanteuse. Ça m’a fait plaisir, c’est deux artistes de deux générations différentes, c’est deux voix très différentes… aucune des deux, je reviens à ce terme là mais moi il me tient à cœur, n’est dans la performance. Ils ont envie de nous communiquer et ça, j’ai toujours été sensible à ça. Heureux de le partager avec eux deux en studio. Et puis j’espère sur scène un jour.
C’est gentil, merci.
Merci à toi, merci à vous, c’était un bon moment
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